Si vous êtes déjà de ceux qui endurent la pénitence quotidienne (et qui survivez brillamment, ou pas), cet article vous fera sans doute sourciller. S’en suivra de « Aaaah ouiiii, il est chiant @Kenshin__ avec ses conneries » à chacun des points que je vais développer.
Si, en revanche, vous n’êtes pas de ceux là, voilà à quoi vous échappez. Parce que me suivre sur Twitter c’est :
- Endurer mes longs voyages en train et les péripéties qu’elles impliquent.
- Supporter mes tweets visant à propulser un ami sur l’arbre aux gazouilleurs.
- Devoir vivre avec mes retweets concernant la maréchaussée.
- Se délecter de mes coups de sang envers certaines enseignes…
- Découvrir mes découvertes cinématographiques.
- Ne rien comprendre à mes tweets japonais. Et ça, c’est dur.
- Voir mes modestes performances sportives et le commentaire idiot qui va avec. (sur Facebook, ils en pâtissent aussi, rassurez-vous)
- Essayer de comprendre mon humour politique.
- Se décomposer devant mon ridicule humour techno’.
- Fondre littéralement devant la misère de mon humour économique.
- Parfois, devoir lire de l’humour en dessous de la ceinture. Du NSFW, quoi.
- Des tweets hybrides, comme de l’humour politico-vidéoludique NSFW.
Si vous vous sentez l’âme d’un survivor, si vous n’avez pas peur de ce que vous venez de voir, si vous voulez devenir vous-même, alors vous pouvez tenter de suivre @Kenshin__. Dans le cas contraire… euh, bah rien.
See you soon on Twitter !